De tradition originelle tibétaine, ce met au nom rond et redondant a été de loin notre plat favori lors de notre séjour au Népal ! TATUP vous présente le momo !
Ok, les détraqueurs diront que ce sont de simples ravioles asiatiques souvent à base de farine de riz ! Mais les puristes sauront reconnaître la variante Népalaise, qui intègre dans sa composition de la farine de blé.
J’ai été invité en cuisines par l’équipe du meilleur restaurant de momos de Thamel (Katmandou), le Gillingche.
Le principe est de se servir des petits disques de pâte laminés très finement au rouleau inox, pour constituer la base de la raviole. Différentes farces sont ensuite possibles dont celle au légumes.
Plusieurs formes existent, avec la classique :
Et d’autres finitions plus élaborées :
Bien entendu, servis avec une sauce piquante à base de coco !
La cuisson est réalisée à la vapeur
Une variante de présentation consiste à servir les momos déjà cuits-vapeur sur un plat en fonte très chaud, c’est le momo-sizzler, délice d’un autre monde !
Pris dans la synergie de groupe, je suis allé avec le manager, chiner quelque fruits dans les marchés pour tenter une version sucrée des momos.
Nous avons passé la journée à mettre au point les momos banane/chocolat, une version ananas/miel/raisin sec pour ceux dont je me souviens.
D’excellents souvenirs, un accueil à bras ouverts, avec comme prochaine destination pour nos reportages, la Thaïlande !
Malheureusement 2 semaines après notre départ, le tremblement de terre survenu dans la région a également détruit cette table de renom (là, sans faire de blessés). Nombre de ceux de l’équipe se sont reconvertis selon les opportunités du moment. Une partie y a vu l’occasion de s’exporter, comme notre ami Arjun chef en cuisines, parti pour Australie.
Le restau a vraisemblablement été reconstruit ailleurs mais il ne porterait plus le même nom !
TATUP project !